Ce dispositif est-t-il efficace ? « Le numéro d’urgence est devenu une alarme incontournable. Les gardes-côtes prennent très au sérieux nos appels mais il y a parfois des tensions », reconnaît le chercheur. « Pour un bateau trop proche de la Libye, nous avons un jour essuyé un refus d’intervention des gardes-côtes italiens, qui renvoyaient sur leurs homologues libyens, qui nous le savons, n’interviennent pas. » Finalement, après négociation, les secours italiens se sont organisés.
Le Monde: Les enfants d’Ushahidi : un numéro pour les migrants en Méditerranée